(sur l'air de "j't'emmčne au vent", de Louise Attaque)
Oui, je viens de lâcher un vent, Il embaume le nez des gens, Et je voudrais que tu te rappelles : La vie des trőlls est éternelle Mais pas artificielle. Je voudrais que tu te lâches plus souvent, Que t'en lâches un de temps en temps ! Et je voudrais que tu te rappelles : La vie des trőlls est éternelle Mais pas artificielle. Te souviens-tu de ce sorcier-titan ? Lui aussi dégazait souvent ! Et je voudrais que tu te rappelles : La vie des trőlls est éternelle Mais pas artificielle. Je voudrais que tu mettes ton nez au vent. Allez, viens! Empuantis le groin des gens ! Et je voudrais que tu te rappelles : La vie des trőlls est éternelle Mais pas artificielle.
Alahitou |